La Bretagne en état d’alerte

La Bretagne, connue pour sa tranquillité et son cadre de vie idéal, a été secouée par un vent de panique dimanche dernier, dans la matinée. Un homme âgé d’une trentaine d’années a ouvertement menacé les gendarmes qui patrouillaient aux abords du Mont-Saint-Michel, très fréquenté en cette période de congés scolaire, et à l’approche des beaux jours. 

Le Mont-Saint-Michel, construit à la demande de l’Archange Michel, « chef des milices célestes », se dresse au cœur d’une immense baie envahie par les plus grandes marées d’Europe. Ses particularités ainsi que son historique attisent la curiosité de milliers de touristes.

Mais le week-end dernier, le calme apparent de la cité médiévale a été interrompu après qu’un homme ait menacé de s’en prendre aux forces de l’ordre présentes sur les lieux, afin de garantir la sécurité des citoyens.

En effet, le Mont-Saint-Michel, visité par des milliers de touristes, a du être évacué « par précaution » toute la matinée. Quelques heures après, le préfet de police a autorisé la ré-ouverture du site. Le suspect est resté introuvable jusqu’à 23h30.

En fin de soirée, près de Caen, la police a été appelée alors qu’un homme se vantait d’être à l’origine de l’évacuation du site touristique. Rapidement interpelé, le suspect est passé aux aveux, et confirme les propos qu’il a tenu à Caen.

Le suspect aurait 36 ans, et serait déjà connu des services de police, selon les informations diffusées par les enquêteurs. Il a été remis aux gendarmes de la Manche pour être interrogé.

Pour voir eu l’envie de « tuer du flic » comme il l’a lui même revendiqué, le suspect risque jusqu’à 5 ans de prison. Tout lien entre lui et une organisation terroriste a été écarté.

Depuis les nombreux attentats survenus sur le sol français, policiers, gendarmes et militaires sont présents en masse aux quatre coin du territoire.

 

 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.