Des Bougivalais exaspérés par les fêtes à répétition de Neymar
L’international brésilien du PSG habitué aux réjouissances bruyantes et tardives insupporte certains de son voisinage.
La cohabitation entre Neymar et ses voisins de Bougival passe de plus en plus mal. Le joueur logé dans cette commune du département des Yvelines ne cesse de mettre mal à l’aise son entourage. À tel point l’édile de la localité menace de faire intervenir la justice.
À cette occasion dont le ton fut donné la veille avec une sortie entre amis dans un restaurant du IVe arrondissement de Paris, la musique a tonné du début d’après-midi au bout de la nuit. D’autant que le joueur avait été exempté des entraînements par le PSG en raison d’une gêne à l’adducteur.
15h à 23h45
Sans doute une aubaine pour un personnage aussi adepte de la fiesta et autres soirées mondaines. Il a ainsi convié des amis dans sa villa pour des réjouissances extrêmement bruyantes, à en croire des témoignages reçus par le journal Le Parisien auprès d’habitants de Bougival.
La fête commencée vers 15 heures se serait en effet poursuivie jusqu’à 23h45 au moins, avec la coupure du gâteau, selon les mêmes sources. De quoi faire l’événement, le principal sujet de discussion du groupe Facebook réservé aux échanges entre Bougivalais.
L’ambiance était si exaspérante pour les voisins qu’ils ont dû se plaindre à la police. Sans grand succès. Puisque le bruit a continué. « Ce n’était pas juste un fond sonore. C’était prodigieusement agaçant », a déclaré le maire Luc Wattelle, cité par Le Parisien.
Fêtard invétéré
Il s’agit selon ce dernier, d’une attitude irrespectueuse de la part de Neymar, un joueur dont la propension aux fêtes et aux sorties nocturnes, n’est plus un mystère en France. Deux dates symbolisent particulièrement cela : le jour de son anniversaire et le 11 mars marquant la naissance de sa jeune sœur Rafaella Santos.
Cette date semble d’autant plus chère aux yeux du numéro 10 du PSG qu’il a déjà été accusé de simuler une blessure afin de fêter avec sa sœur. Le voisinage du joueur se retrouve ainsi exposé chaque fois qu’il a quelque chose à fêter. Comme la fête du titre de champion de France qui s’est étendu au-delà de cinq heures du matin l’année dernière.
L’édile menace en tout cas de saisir le procureur pour « trouble répété à l’ordre public ».